vendredi 5 décembre 2014

Géraldine Hary

Ce matin, Géraldine Hary Art , écrivain, illustratrice et éditrice des Editions P'tit Baluchon a pris un peu de son temps pour rendre une visite surprise à l'école ND de la Sagesse, à Plouider. Les maternelles ont pu découvrir certaines facettes des métiers de Géraldine. Les classes d'Audrey, Lénaïg et Françoise puis les assistantes maternelles ont eu la joie d'écouter une merveilleuse histoire illustrée par Géraldine et écrite par Catibou, "Viens que je te dise..."


 



mardi 30 septembre 2014

4 400 km à pied pour leur voyage de noces

4 400 kilomètres à pied... Cette longue marche, Amandine et Eric Chapuis l'ont accompli en guise de voyage de noces. Parfois sur les traces du Mahatma Gandhi, toujours sur celles de la foi en l'Homme.
Vendredi soir, Amandine a proposé à l'assistance de la médiathèque Jules-Verne de partager cette expérience hors du commun avec la projection commentée d'un diaporama qui évoquait ce voyage de huit mois. Elle est l'auteur du récit Au coeur de l'Inde, 4 400 kilomètres à pied du Kerala à l'Himalaya.
Traverser l'Inde, du Kérala à la chaîne de l'Himalaya, en passant par les plages de Goa, ne se conçoit pas sans l'envie de rencontrer des êtres différents. L'hospitalité indienne n'est pas un vain mot.
Jeunes mariés, Amandine et Éric Chapuis ont décidé de partir pour un long voyage de noces afin de vivre pleinement leur engagement. Ils ont traversé l'Inde pas à pas, tels des pèlerins, du sud au nord. 

Tout ne fut pas facile tous les jours dans un pays de vingt-huit états, tous marqués par des différences linguistiques, culturelles et cultuelles. « Il fallait progresser, avance Amandine, car nous aurions pu passer un long séjour chez chacune des familles hôtes. »
En réalité, le plus long arrêt aura duré trois jours, le temps qu'Amandine soigne une grosse angine. Un voyage de noce loin de l'image d'Épinal.
« L'intimité ?, sourit Amandine, on l'a laissée au placard le temps de notre périple de huit mois. » La projection a été suivie de questions mais le temps passant, c'est avec regret que le public s'en est allé après une séance de dédicaces.
Ouest-France, 30 septembre 2014